La fabuleuse histoire de Gargantua


         Gargantua est une personne scabreuse, mais je vais tout de même raconter une part inconnue de son histoire.
         Vous savez qu’à l’âge de 26 ans, il partit vivre dans une ville nommée Paris, ceci se situe à l’époque où notre cher Gargantua n’était pas encore bien éduqué. Ce fut un voyage éblouissant et très constructif pour Gargantua. Vous ne vous imaginez pas à quel point il fut étonné quand il découvrit internet, les voitures, camions et motos, gratte-ciels, télévisions et portables. Vous vous doutez bien qu’il voulait tout contrôler, n’est ce pas ? Et bien vous avez raison ! Il trouva même une fulgurante idée : il fallait qu’il se trouve plusieurs femmes pour procréer, puis conquérir Paris, ou même plutôt, la France !
         Malheureusement pour lui il rencontra un mouton, dont il tomba éperdument amoureux. Il lui fit la cour pendant plusieurs mois avec succès. Mais la religion interdisait ce genre de relation : Gargantua alla voir notre cher président, M.François Hollande, pour lui démontrer son amour et faire cette loi idiote ! C’est vrai non ? Ne dit on pas que l’on ne sépare pas ceux qui s’aiment ? Alors pourquoi blâmons nous les zoophiles ? Ne sont-ce pourtant pas les hétérosexuels qui se font du mal et se brisent le cœur ?
        Gargantua obtint gain de cause. Le président accorda la "zoophilité". Gargantua et son mouton prénommé Zaguilavoche achetèrent un beau champ de fleurs où vivre. Ils étaient opposés l’un à l’autre, mais en dépit de leur caractère, ils voulaient des enfants ! Des millions d’enfants. Gargantua accomplit son rêve de famille. Leurs corps étaient velus et moutonneux, mais ce n’était pas des poils, non ! mais des cheveux, le yeux à la place des la bouche, deux nez et une seule oreille. Un corps tel l’animal et un visage tel celui du père, de grosses têtes, d’énormes têtes, de gigantesques têtes : de magnifiques mutants ! Vous  ne me croyez pas ? Et pourtant n’est ce pas vous qui rabâchez ces histoires de Centaures et Minautores depuis des siècles ? Alors pourquoi ne me croyez-vous pas ? Mon histoire n’est pas si invraisemblable que ce que vous pensez ! Si vous ne me croyez toujours pas, il reste une chose en laquelle vous êtes obligé : Buvez, buvez ! C’est gage de bonheur !

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A vos stylos ! (euh, claviers..)

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